C. Guillaume-de, Recueil des historiens de France et des Gaule, t. XX, p. 34 traduit par G. Nahon, « Les ordonnances, p.30

M. Castaing, Le prêt à intérêt à Toulouse aux XII e et XIII e siècles », Bulletin historique et philologique, pp.273-278, 1953.

B. Bedos, ». Les-sceaux, A. Des-juifs-en-france-médiévale, and .. B. Blumenkranz, , p.215, 1980.

J. Baldwin, op. cit. p. 298 et qui renvoie à H. G. Richardson, The English Jewry under Angevin Kings, pp.109-170, 1960.

, Véron se voit réclamer une dette de 4 sous dûe à Méron de Chinon qu'il affirme avoir remboursé, le prévôt de Chinon Pierre Hachepin le fait payer « quia non erat deletus de rotulo domini regis », ce registre atteste de la dette, p.1093

L. Delisle, , p.107

L. Delisle, , p.1097

. Arch and . J. Nat, n° 2 édité par L. Lazard, op. cit, p.242, 1028.

L. Delisle, La technique de l'assignamenta, évoquée seulement dans le texte de 1219, semble trouver son application dans quelques rares enquêtes mentionnant des opérations complexes qui se rapprochent d'hypothèque sur des biens immobiliers (L. Delisle, op. cit. p. 9, n° 56) ou parfois sous la forme d'un contrat à réméré, avec faculté de rachat à prix fixé, vol.388, p.52

G. Nahon, ». Le-crédit, and O. , notamment L. Delisle, op. cit, p.167

L. Établissements-de-saint, .. P. Louis, and . Viollet, , vol.4, p.127

J. J. Clamageran, Histoire de l'impôt en France, Paris, 1867, t. I, p. 261 et G. Nahon, « Le crédit », p. 1141 d'après notamment une enquête montrant Adam le Panetier, p.680

Q. De-même, est interdite la prison pour dette : un seul cas dans les enquêtes pourrait laisser penser que cette mesure est inappliquée mais c'est en réalité un abus patent d'agents royaux qui piègent et enferment chez un Juif un certain Martin Frotiscene, en l'accusant de viol pour mieux lui extorquer de l'argent par emprunt forcé, vol.72, p.79

O. Delisle, Acte inséré dans le Recueil, t. V, p. 195 mais probablement à tort, il y a en effet une incohérence sur la date, le plaignant dit que cet ordre serait « du roi Philippe » mais aussi que c'était vingt ans auparavant, soit vers 1227, quatre ans après la mort de ce roi qui, par ailleurs, dans ses actes ne suivait pas encore cette politique. C'est un exemple de l, vol.745, p.164

G. , Nahon cite plusieurs autres plaintes qui affirment explicitement que les contraintes et saisies ont eu lieu en contravention avec les ordonnances royales : notamment dans la sénéchaussée de Nîmes et Beaucaire en 1247 « post prohibitionem olim factam a domino rege ne in regno suo compellerentur debitores Judaeorum ad restituendum eisdem Judaeis debita, p.175